Comment devenir vétérinaire en France ?

vétérinaire, souvent un rêve d’enfants
Le vétérinaire est depuis longtemps une profession passionnée par de nombreux enfants, passionné par les animaux, en particulier les animaux domestiques et rêve de passer leur vie à s’occuper d’eux.
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En creusant un peu, ils se rendent compte que les vétérinaires interfèrent dans des contextes très différents : certains se sont spécialisés dans les écuries d’animaux de ferme, de zoo ou de chevaux de course… D’autres gèrent le bétail en Afrique, s’occupent des orangs-outans de Sumatra ou travaillent à sauver et à réintroduire des espèces dans les réserves naturelles.
Ce qu’ils ignorent, c’est que le vétérinaire, véritable leader du marché dans l’industrie, est de plus en plus impliqué dans les questions environnementales, l’agronomie ou la biotechnologie avec les révolutions que connaît la biologie. Les grands laboratoires de recherche déchirent effectivement ces profils avec de multiples compétences.
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Vétérinaire aujourd’hui : du vétérinaire à l’ingénieur industrie animale
Le vétérinaire, qui est principalement considéré comme un « vétérinaire », est maintenant plus un ingénieur spécialisé dans la production animale :
- il contrôle l’hygiène et la sécurité des aliments destinés à un usage humain
- il est responsable de la production et de la vente de produits pharmaceutiques destinés aux soins des animaux.
- il est le principal partenaire des laboratoires de recherche publics (INRA, Institut Pasteur, INSERM…), mais aussi en privé.
Notre sympathique médecin pour animaux de compagnie est en fait un expert en flèche ! Cela explique pourquoi l’accès aux Grandes Ecoles préparant cette profession est si sélectif et pourquoi la préparation à une compétition aussi importante doit commencer très tôt.
Passez du rêve à la réalité en choisissant l’une des 4 écoles vétérinaires nationales (ENV)
intégrer Ces célèbres ENV sont situés à Maison-Alfort, Lyon, Toulouse et Nantes. Ils recrutent pour des compétitions de niveau Bac 2, principalement après un cours de préparation au BCPST.
Les études durent cinq ans et sont sanctionnées par un diplôme d’État du médecin vétérinaire (DEV). En plus d’un programme général, le programme propose des spécialisations : animaux domestiques, équidés, santé vétérinaire, recherche et industrie.
La préparation du CPSC est un moyen royal d’intégrer un EPS.
En fait, 80 % des élèves des écoles vétérinaires nationales viennent de ces cours de préparation.
Les deux années passées à BCPST Prep ont pour but de permettre aux étudiants d’acquérir les bases scientifiques essentielles au succès du concours ENV. Chaque année, 430 à 450 sièges sont ouverts à près de 3000 candidats. La sélection est donc très stricte, seuls ceux qui sont dans tous les matériaux comprendront un EPS.
L’admission au CPST Prep nécessite donc d’être un excellent étudiant en Terminal S qui peut obtenir une bonne ou très bonne mention au BCSA.
D’autres concours permettent d’accéder à ENV en France, mais offrent très peu de places (15 % de la compétition A) : concours B pour détenteurs de licence biologique, concours C ouvert aux diplômés BTS ou DUT, ou concours D, réservé aux étudiants en médecine, pharmacie ou dentisterie (pas plus de 2 places disponibles).
Respect du mirage des études vétérinaires à l’étranger !
Parfois effrayés par la difficulté d’avoir un veto réussi après une propa du BCPST, certains étudiants choisissent une formation vétérinaire à l’étranger parce qu’il serait plus facile d’y étudier. L’analyse approfondie de tous les vétérinaires Cependant, l’enseignement dans le monde entier montre que les programmes sont à peu près identiques.
Les étudiants français se trompent donc lorsqu’ils imaginent que le niveau des études vétérinaires hors de France est plus accessible. Le nombre de Clausus varie certainement d’un pays à l’autre, tout comme le processus de sélection. Mais attention, puisque l’intégration semblait « plus ouverte » la première année, elle cache souvent un processus d’élimination strict tout au long des années scolaires. C’est le cas en Belgique, où un étudiant peut être exclu de la chaîne de veto jusqu’à la dernière année d’études ! Il convient également de noter que les Français y sont admis… par tirage au tirage !
D’autre part, les taux répétés pour la première année en Europe sont très intimidants… Ajoutons à cela les problèmes d’adaptation, de langue, de logement, parfois de coûts scolaires exorbitants (Espagne), que les étudiants étrangers sont désagréables Les situations bougent et l’image sera tout à fait complète en raison des difficultés qui surviennent.
Le CPST Prepa reste donc la voie d’accès la plus appropriée pour intégrer les écoles vétérinaires nationales :
- 80 % des vétérinaires actuels
- Les matières enseignées trouvent leur continuité naturelle dans une école vétérinaire.
- Les méthodes de travail apprises sont parfaitement adaptées aux exigences du vétérinaire.
- Alternatives si l’étudiant échoue, les ENV sont à un niveau élevé : Ecole des Mines, Polytech, AgroParisTech… 100 % des élèves intègrent donc au moins une école d’ingénieurs quittant Prepa.